''sandra92, ces trousse don tu parle on les achètes?ou peut-on les trouvé? j'aimerai bien essayé car je veux poser en boxer sur mon blog et j'aimerai faire ressortir le volume de....
Hola, Hola! pas de problème, la première chose que je regarde, ne serait-ce que dans un ballet, un opéra une comédie, c'est la tenue des danseurs...je m'éclate, c'est merveilleux, savoir s'ils portent à gauche, à droite...ensuite bien sûr vient la mis en scène, le spectacle, la pièce en elle-même, tout entre en jeu, il ne faut pas tout dépoêtiser...chaque "choses" ont leur valeur.
Fetevertigo a raison, il faut s'interroger sur la valeur humaine et savoir aprécier les "choses" à leurs justes valeurs.
L'opéra a été fondé et ainsi depuis la nuit des temps, de telle sorte que ces "dames" portaient l'habit les mettant en valeur. Mais, le plus instinctif en ce domaine reste Youri Azolminov, premier critique, qui, observant des premières loges un théâtre populaire, s'insurgeât quant au regard des spectateurs et "trices"...Il lui vint à l'esprit de rendre l'image masculine vue sur scène plus attractive et c'est ainsi que naquit le juste-au-corps.. "masculin" de l'époque. Il n'est pas fait référence dans mes tablettes d'une quelconque homosexualité de ce cher Youri.
pour ne pas être genés dans leur mouvement. en dessous, ils portent une "trousse" c'est à dire une sorte de string en elastique qui est matelassée devant et qui repousse les testicules vers l'avant (c'est tout ça qui fait le volume!) pour ne pas gener les positions 1°, 3° et 5° (les pieds et jambes serrées)....
Voilà, mais ils portent aussi d'autres pantalons pour certains ballets. Le collant est plutot pour le travail de repetition ou certains ballets classique.
Le collant: Le collant académique (ou académique tout court) est l’héritier du caleçon de protection porté par les danseuses dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à partir du moment où les costumes se raccourcissent et s’allègent des paniers puis des tonnelets sous les jupes. A l’apparition de jambes féminines si longtemps cachées, il faut protéger la pudeur des artistes et ménager celle des spectateurs avec un "caleçon de modestie". Porté sous les jupes puis sous le tutu, ce sous-vêtement est alors composé de bas en laine, en coton ou en soie, tenus par des jarretières accrochées à un petit pantalon, remplacé lui-même pour les spectacles par un maillot de soie rose. Il ne s’impose véritablement comme costume de scène qu’au cours du XXe siècle.
Combiné au justaucorps — maillot sans jambe — ou fusionné avec celui-ci dans le maillot-collant "académique" — vêtement qui gaine tout le corps, avec ou sans manches —, il passe de sous-vêtement à vêtement de travail, avant de s’imposer comme vêtement de scène après la première guerre mondiale. A la fin du XIXe siècle, le port d’un collant n’est de loin pas réservé au monde de la danse classique. Les mannequins des premières maisons de couture portent une tunique moulante sombre sous les robes décolletées qu’elles présentent aux clientes. Dans les revues, les premières femmes nues ne le sont guère, car elles sont moulées dans des collants chair qui ôtent tout relief à leurs rondeurs. L’apparition du collant sur scène reste rare avant les années 1950. Le collant tacheté de Nijinsky dans L’Après-midi d’un faune, créé en 1912, fait figure de précurseur. Après la première guerre mondiale, Martha Graham revêt ses interprètes d’un maillot académique qui moule exactement le corps sans attenter à la pudeur. Serge Lifar imposera le collant noir ou chair comme tenue de travail à l’Opéra de Paris dans les années 1940, et Christl Siesz, ancienne danseuse étoile au Grand Théâtre de Genève, se rappelle encore les lourds collants en tricot qu’elle portait petite à l’Opéra de Vienne.
L’invention des fibres synthétiques — nylon puis lycra notamment — confèrent au collant une meilleure élasticité. Cette nouvelle qualité, ajoutée à l’évolution des mœurs comme des valeurs esthétiques, vont le propulser sur le devant de la scène à partir des années 1950. Il deviendra une véritable seconde peau, révélant les lignes du corps et traduisant une vérité anatomique doublée d'une nudité idéalisée. Il est porté aussi bien par les femmes — dont il devient un sous-vêtement dès les années 1960 — que par les hommes, dont il constitue parfois le seul costume qu’ils portent torse nu. Sa facture lisse et homogène gomme la différence entre les sexes, et met en valeur le corps comme instrument androgyne du mouvement. A ce titre, le spectacle Summerspace de Merce Cunningham, créé en 1958, est emblématique. Rauschenberg avait peint une toile de fond couverte d’une myriade de pois, également appliqués aux collants des danseurs. Ainsi les corps se fondaient dans les décors en une exaltation du mouvement pur. Alwin Nikolaïs étirera le collant à l’extrême puisqu’il y enveloppera totalement le corps de ses interprètes, y compris la tête, qui ne deviendront plus que formes abstraites et surfaces mouvantes.
Parce qu'il ne peuvent pas mettre des poches à leurs costumes.
Et en principe ils doivent aussi porter des coquilles, afin d'éviter d'être émasculés définitivement par un bon coup de genou, lorsqu'ils s'enlacent avec leurs partenaires.
Si les femmes se délectent du spectacle, il faut aussi avouer que nous les hommes sommes bien contents de regarder les belles formes de certaines danseuses, parce que d'autres sont des vrais paquets d'os ambulants.
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c'est pour maintenir les bonbons pour pas qu'ils volent tout le temps dans tous les sens
Pour le plaisir des yeux??? Aah ben oui, fallait la balancer celle là!!
''sandra92, ces trousse don tu parle on les achètes?ou peut-on les trouvé? j'aimerai bien essayé car je veux poser en boxer sur mon blog et j'aimerai faire ressortir le volume de....
Patrick du Cameroun
Hola, Hola! pas de problème, la première chose que je regarde, ne serait-ce que dans un ballet, un opéra une comédie, c'est la tenue des danseurs...je m'éclate, c'est merveilleux, savoir s'ils portent à gauche, à droite...ensuite bien sûr vient la mis en scène, le spectacle, la pièce en elle-même, tout entre en jeu, il ne faut pas tout dépoêtiser...chaque "choses" ont leur valeur.
Fetevertigo a raison, il faut s'interroger sur la valeur humaine et savoir aprécier les "choses" à leurs justes valeurs.
L'opéra a été fondé et ainsi depuis la nuit des temps, de telle sorte que ces "dames" portaient l'habit les mettant en valeur. Mais, le plus instinctif en ce domaine reste Youri Azolminov, premier critique, qui, observant des premières loges un théâtre populaire, s'insurgeât quant au regard des spectateurs et "trices"...Il lui vint à l'esprit de rendre l'image masculine vue sur scène plus attractive et c'est ainsi que naquit le juste-au-corps.. "masculin" de l'époque. Il n'est pas fait référence dans mes tablettes d'une quelconque homosexualité de ce cher Youri.
@ PLF......Calmos!
pour ne pas être genés dans leur mouvement. en dessous, ils portent une "trousse" c'est à dire une sorte de string en elastique qui est matelassée devant et qui repousse les testicules vers l'avant (c'est tout ça qui fait le volume!) pour ne pas gener les positions 1°, 3° et 5° (les pieds et jambes serrées)....
Voilà, mais ils portent aussi d'autres pantalons pour certains ballets. Le collant est plutot pour le travail de repetition ou certains ballets classique.
Mais c'est très bien ainsi!!!
salut,
Le collant: Le collant académique (ou académique tout court) est l’héritier du caleçon de protection porté par les danseuses dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à partir du moment où les costumes se raccourcissent et s’allègent des paniers puis des tonnelets sous les jupes. A l’apparition de jambes féminines si longtemps cachées, il faut protéger la pudeur des artistes et ménager celle des spectateurs avec un "caleçon de modestie". Porté sous les jupes puis sous le tutu, ce sous-vêtement est alors composé de bas en laine, en coton ou en soie, tenus par des jarretières accrochées à un petit pantalon, remplacé lui-même pour les spectacles par un maillot de soie rose. Il ne s’impose véritablement comme costume de scène qu’au cours du XXe siècle.
Combiné au justaucorps — maillot sans jambe — ou fusionné avec celui-ci dans le maillot-collant "académique" — vêtement qui gaine tout le corps, avec ou sans manches —, il passe de sous-vêtement à vêtement de travail, avant de s’imposer comme vêtement de scène après la première guerre mondiale. A la fin du XIXe siècle, le port d’un collant n’est de loin pas réservé au monde de la danse classique. Les mannequins des premières maisons de couture portent une tunique moulante sombre sous les robes décolletées qu’elles présentent aux clientes. Dans les revues, les premières femmes nues ne le sont guère, car elles sont moulées dans des collants chair qui ôtent tout relief à leurs rondeurs. L’apparition du collant sur scène reste rare avant les années 1950. Le collant tacheté de Nijinsky dans L’Après-midi d’un faune, créé en 1912, fait figure de précurseur. Après la première guerre mondiale, Martha Graham revêt ses interprètes d’un maillot académique qui moule exactement le corps sans attenter à la pudeur. Serge Lifar imposera le collant noir ou chair comme tenue de travail à l’Opéra de Paris dans les années 1940, et Christl Siesz, ancienne danseuse étoile au Grand Théâtre de Genève, se rappelle encore les lourds collants en tricot qu’elle portait petite à l’Opéra de Vienne.
L’invention des fibres synthétiques — nylon puis lycra notamment — confèrent au collant une meilleure élasticité. Cette nouvelle qualité, ajoutée à l’évolution des mœurs comme des valeurs esthétiques, vont le propulser sur le devant de la scène à partir des années 1950. Il deviendra une véritable seconde peau, révélant les lignes du corps et traduisant une vérité anatomique doublée d'une nudité idéalisée. Il est porté aussi bien par les femmes — dont il devient un sous-vêtement dès les années 1960 — que par les hommes, dont il constitue parfois le seul costume qu’ils portent torse nu. Sa facture lisse et homogène gomme la différence entre les sexes, et met en valeur le corps comme instrument androgyne du mouvement. A ce titre, le spectacle Summerspace de Merce Cunningham, créé en 1958, est emblématique. Rauschenberg avait peint une toile de fond couverte d’une myriade de pois, également appliqués aux collants des danseurs. Ainsi les corps se fondaient dans les décors en une exaltation du mouvement pur. Alwin Nikolaïs étirera le collant à l’extrême puisqu’il y enveloppera totalement le corps de ses interprètes, y compris la tête, qui ne deviendront plus que formes abstraites et surfaces mouvantes.
En espérant que j'ai éclairé ta lanterne ??
Bonne soirée !
Parce qu'il ne peuvent pas mettre des poches à leurs costumes.
Et en principe ils doivent aussi porter des coquilles, afin d'éviter d'être émasculés définitivement par un bon coup de genou, lorsqu'ils s'enlacent avec leurs partenaires.
Si les femmes se délectent du spectacle, il faut aussi avouer que nous les hommes sommes bien contents de regarder les belles formes de certaines danseuses, parce que d'autres sont des vrais paquets d'os ambulants.
Pour ne pas être gênés...
http://fr.answers.yahoo.com/question/index;_ylt=Ai...
http://www.geneschiavone.com/gallery/album27/00060...
sans être homophobe il ya des des limitesYAHOOQR N'EST PAS UN SITE DE GAY
CA FAIT 2 FOIS ESPECE DE GROSSE TAPETTE ABUS SIGNALE
tu n'est qu'un gros pédé qui n'a rien à foutre sur ce site
dégageeeeeeeeeeeeees -con...ard
j'tai mis une étoile gros pédé tu peux te la mettre dans le c..l
t'iras valser sous la lune !!!