Quand on est spéctateur de sa vie c'est qu'on se sent spéctateur de la réussite des autres et là en effet ça devient un problème, on se sent inactif et inutile hors les probabilités le montrent: la nature apprécie le changement et le mouvement, tu ne fais que retarder tes souffrances ou les étaler dans le temps si tu préfères ou penser que mieux vaut que ces souffrances soient psychiques plutot que physique, c'qui n'est pas forcément mieux, c'est comme ça que j'vois la chose, mais le vrai truc c'est de se concentrer sur le plaisir que peut te procurer un effort,effort qui n'est pas synonyme de souffrance c'est ça le vrai truc, sachant qu'il faut quand même plutôt s'orienter vers des choses qui sont naturellement faites pour nous et qui nous plaisent. Bien à toi.
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Le risque est de se rendre compte un jour qu'on est passé à côté de la vie.
vivre sans vivre ce n'est pas terrible.
Je ne le pense pas .
Ne pas vivre sa vie, c'est une souffrance en soi. La position du spectateur n'est pas tenable, comme le montre la vie même d'Oscar Wilde.
lol... Drôle de façon de philosopher, à croire qu'être un looser peut revenir à être un winner juste par la pensée.
Quand on est spéctateur de sa vie c'est qu'on se sent spéctateur de la réussite des autres et là en effet ça devient un problème, on se sent inactif et inutile hors les probabilités le montrent: la nature apprécie le changement et le mouvement, tu ne fais que retarder tes souffrances ou les étaler dans le temps si tu préfères ou penser que mieux vaut que ces souffrances soient psychiques plutot que physique, c'qui n'est pas forcément mieux, c'est comme ça que j'vois la chose, mais le vrai truc c'est de se concentrer sur le plaisir que peut te procurer un effort,effort qui n'est pas synonyme de souffrance c'est ça le vrai truc, sachant qu'il faut quand même plutôt s'orienter vers des choses qui sont naturellement faites pour nous et qui nous plaisent. Bien à toi.